Titre : |
Terre plurielle. Maryam, une mémoire déracinée |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Anne Tiddis, Auteur |
Editeur : |
Alger : Ministère de la culture |
Année de publication : |
2009 |
Importance : |
151 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-9947-24-685-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Tiddis Anne Roman |
Résumé : |
" Je veux simplement leur offrir mes paumes tournées vers mon visage et mes doigts enlacés à la vie, malgré tout. " Elevée dans un milieu protestant par sa grand-mère maternelle, nourrie de références catholiques par sa mère, côtoyant la culture musulmane par son père, même si celui-ci se proclamait athée, Anne-Leîla va découvrir, dans le passage de l'enfance à l'adolescence, les richesses de ces cultures mais aussi de 1954 à 1964 leur confrontation brutale et sanguinaire dans la guerre d'Algérie. Ce n'est pas un récit de rebelle. Mais au contraire un hymne à la vie dans le dépassement des déchirures et de la mort. L'écriture galope comme le coeur d'un enfant dans sa spontanéité à aimer : " Je désenlace les montagnes craquelées de violet pour unir mes mains dans la courbe de la tendresse... " Ce livre d'une grande ferveur poétique porte dans la force de l'écriture l'envoûtement d'images oniriques qu'on pourrait dire des Mille et une nuits. Anne-Leîla exprimera son monde imaginaire, à la fois source et refuge, par le personnage presque mythique de Maryam. On découvrira ses cris, ses sourires, son exaltation - ne veut-elle pas épouser le vent ? - jusqu'à la chute dans un tourbillon de feu. Ce retour à la chaleur de la terre nourricière et à son feu est peut-être l'accomplissement du mythe d'Héphaïstos. |
Terre plurielle. Maryam, une mémoire déracinée [texte imprimé] / Anne Tiddis, Auteur . - Alger : Ministère de la culture, 2009 . - 151 p. ISBN : 978-9947-24-685-6 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Tiddis Anne Roman |
Résumé : |
" Je veux simplement leur offrir mes paumes tournées vers mon visage et mes doigts enlacés à la vie, malgré tout. " Elevée dans un milieu protestant par sa grand-mère maternelle, nourrie de références catholiques par sa mère, côtoyant la culture musulmane par son père, même si celui-ci se proclamait athée, Anne-Leîla va découvrir, dans le passage de l'enfance à l'adolescence, les richesses de ces cultures mais aussi de 1954 à 1964 leur confrontation brutale et sanguinaire dans la guerre d'Algérie. Ce n'est pas un récit de rebelle. Mais au contraire un hymne à la vie dans le dépassement des déchirures et de la mort. L'écriture galope comme le coeur d'un enfant dans sa spontanéité à aimer : " Je désenlace les montagnes craquelées de violet pour unir mes mains dans la courbe de la tendresse... " Ce livre d'une grande ferveur poétique porte dans la force de l'écriture l'envoûtement d'images oniriques qu'on pourrait dire des Mille et une nuits. Anne-Leîla exprimera son monde imaginaire, à la fois source et refuge, par le personnage presque mythique de Maryam. On découvrira ses cris, ses sourires, son exaltation - ne veut-elle pas épouser le vent ? - jusqu'à la chute dans un tourbillon de feu. Ce retour à la chaleur de la terre nourricière et à son feu est peut-être l'accomplissement du mythe d'Héphaïstos. |
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