Titre : |
Les ailes de la reine |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Waciny Laredj, Auteur ; Bois Marcel, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Sindbad |
Année de publication : |
1993 |
Importance : |
245 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7427-8241-3 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Laredj Waciny Roman |
Résumé : |
Le combat pour la liberté de danser d'une femme aux prises avec les démons de l'Algérie des années 1980. Le sixième roman de l'écrivain Algérien Wacini Laredj.
Dans une Algérie déchirée, en proie à ses propres démons, une danseuse de ballet, Miryam, n'a qu'un seul rêve : incarner le personnage de Schéhérazade dans une adaptation chorégraphique du célèbre poème symphonique de Rimsky-Korsakov. Elle trouve soutien et réconfort auprès de son amie et professeur de danse, Anatolia, ainsi que dans le souvenir de son idole, la danseuse étoile Ekatrina Maximova, qui a tenu bon, jusqu'au bout de ses forces, malgré un sévère handicap physique.
Gravement blessée lors des événements du 5 octobre 1988, Miryam continue à s'entraîner avec acharnement, toujours stimulée par Anatolia, jusqu'au jour où celle-ci est renvoyée par le ministère de la Culture et " invitée " à quitter le pays. Sous la pression des groupes islamistes armés, tous les espaces culturels, y compris l'Opéra, sont d'ailleurs menacés de fermeture.
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Les ailes de la reine [texte imprimé] / Waciny Laredj, Auteur ; Bois Marcel, Traducteur . - Paris : Sindbad, 1993 . - 245 p. ISBN : 978-2-7427-8241-3 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Laredj Waciny Roman |
Résumé : |
Le combat pour la liberté de danser d'une femme aux prises avec les démons de l'Algérie des années 1980. Le sixième roman de l'écrivain Algérien Wacini Laredj.
Dans une Algérie déchirée, en proie à ses propres démons, une danseuse de ballet, Miryam, n'a qu'un seul rêve : incarner le personnage de Schéhérazade dans une adaptation chorégraphique du célèbre poème symphonique de Rimsky-Korsakov. Elle trouve soutien et réconfort auprès de son amie et professeur de danse, Anatolia, ainsi que dans le souvenir de son idole, la danseuse étoile Ekatrina Maximova, qui a tenu bon, jusqu'au bout de ses forces, malgré un sévère handicap physique.
Gravement blessée lors des événements du 5 octobre 1988, Miryam continue à s'entraîner avec acharnement, toujours stimulée par Anatolia, jusqu'au jour où celle-ci est renvoyée par le ministère de la Culture et " invitée " à quitter le pays. Sous la pression des groupes islamistes armés, tous les espaces culturels, y compris l'Opéra, sont d'ailleurs menacés de fermeture.
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