Titre : |
La chrysalide. Chroniques algériennes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Aïcha Lemsine, Auteur |
Editeur : |
Paris : Des femmes |
Année de publication : |
1978 |
Importance : |
287 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Lemsine Aïcha Roman |
Résumé : |
Résumé:
Dans la maison de Si-Mokrane, la tradition musulmane est toute-puissante : sorcellerie et fatalisme règlent la vie quotidienne, sanctionnent tout manquement à l'ordre immuable qui garde les femmes cloîtrées et assujetties à la loi du patriarche.
Khadidja - donnée en mariage à Si-Mokrane pour sceller la vieille amitié de leurs pères - se rebelle, refuse les tatouages comme les croyances ancestrales, se fait accoucher d'un fils par la doctoresse blanche du village ; elle insufflera ses forces et sa révolte aux autres épouses, à leurs enfants, à Mouloud, à Faïza.
D'abord lointaine, la guerre devient une réalité pour le village : couvre-feu, menaces... jusqu'à l'indépendance : les frontières s'ouvrent, celles du village, celles du pays, celles de la famille.
Une génération après, la rébellion de Khadidja revit en Faïza. Elle fait ses études, rejette les traditions ; pour elle : « le village, c'est fini ». |
La chrysalide. Chroniques algériennes [texte imprimé] / Aïcha Lemsine, Auteur . - Paris : Des femmes, 1978 . - 287 p. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Lemsine Aïcha Roman |
Résumé : |
Résumé:
Dans la maison de Si-Mokrane, la tradition musulmane est toute-puissante : sorcellerie et fatalisme règlent la vie quotidienne, sanctionnent tout manquement à l'ordre immuable qui garde les femmes cloîtrées et assujetties à la loi du patriarche.
Khadidja - donnée en mariage à Si-Mokrane pour sceller la vieille amitié de leurs pères - se rebelle, refuse les tatouages comme les croyances ancestrales, se fait accoucher d'un fils par la doctoresse blanche du village ; elle insufflera ses forces et sa révolte aux autres épouses, à leurs enfants, à Mouloud, à Faïza.
D'abord lointaine, la guerre devient une réalité pour le village : couvre-feu, menaces... jusqu'à l'indépendance : les frontières s'ouvrent, celles du village, celles du pays, celles de la famille.
Une génération après, la rébellion de Khadidja revit en Faïza. Elle fait ses études, rejette les traditions ; pour elle : « le village, c'est fini ». |
|