Titre : |
Une femme pour mon fils |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ali Ghalem, Auteur |
Editeur : |
Paris : Syros |
Année de publication : |
1979 |
Importance : |
221 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
2.90.0968.28.7 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Ghalem Ali Roman |
Résumé : |
Dans l’Algérie d’aujourd’hui, un mariage traditionnel estimpose à Fatiha et Hocine : le respect du passé et des coutumes constitue pour les parents le seul garant d’un bonheur certain, la seule protection contre les bouleversements d’un monde qu’ils ne comprennent plus. La continuité familiale assurée : leur ultime joie.
Le style alerte et imagé de l’auteur nous fait partage les efforts de Fatiha et Hocine pour se résoudre puis s’adapter à cette union, leurs aspirations déçues, leurs contradictions, leur déchirement mutuel et leur mutuelle incompréhension.
Trois mois après son mariage, Hocine revient travailler en France, contraint aussi par son impossible entente avec Fatiha et son double déracinement. Il laisse chez ses parents sa jeune femme enceinte.
Celle-ci supporte difficilement l’anéantissement soudain de ses projets et refuse d’accepter la vie quotidienne de la femme algérienne, recluse auprès de sa belle-mère, gardienne autoritaire et vigilante des coutumes.
UNE FEMME POUR MON FILS, c’est surtout la lente et douloureuse libération d’une femme qui prend peu à peu conscience de ses possibilités, rassemble ses forces et se révolte pour vivre autrement, hors des murs socio-culturels et religieux qui l’enferment. |
Une femme pour mon fils [texte imprimé] / Ali Ghalem, Auteur . - Paris : Syros, 1979 . - 221 p. ISSN : 2.90.0968.28.7 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Ghalem Ali Roman |
Résumé : |
Dans l’Algérie d’aujourd’hui, un mariage traditionnel estimpose à Fatiha et Hocine : le respect du passé et des coutumes constitue pour les parents le seul garant d’un bonheur certain, la seule protection contre les bouleversements d’un monde qu’ils ne comprennent plus. La continuité familiale assurée : leur ultime joie.
Le style alerte et imagé de l’auteur nous fait partage les efforts de Fatiha et Hocine pour se résoudre puis s’adapter à cette union, leurs aspirations déçues, leurs contradictions, leur déchirement mutuel et leur mutuelle incompréhension.
Trois mois après son mariage, Hocine revient travailler en France, contraint aussi par son impossible entente avec Fatiha et son double déracinement. Il laisse chez ses parents sa jeune femme enceinte.
Celle-ci supporte difficilement l’anéantissement soudain de ses projets et refuse d’accepter la vie quotidienne de la femme algérienne, recluse auprès de sa belle-mère, gardienne autoritaire et vigilante des coutumes.
UNE FEMME POUR MON FILS, c’est surtout la lente et douloureuse libération d’une femme qui prend peu à peu conscience de ses possibilités, rassemble ses forces et se révolte pour vivre autrement, hors des murs socio-culturels et religieux qui l’enferment. |
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